D’une façon décomplexée, le spectacle nous balade dans les coulisses du théâtre avant de nous faire asseoir sur des gradins mobiles ; le tout est plein d’humour et nous renvoie à nos interrogations sur le corps et sa fin programmé.
— Nicolas Blondeau, Lyon Capitale, 2 décembre 04 —
L’ensemble éclaire les fantasmes d’un auteur qui jette un œil ironique et parfois cruel sur le narcissisme de nos contemporains.
— A. Maffra, Le Progrès, 1er décembre 04 —
De vêtements et de peau. L’approche est physiologique, sensorielle. Elle met en jeu les sens. Il y a de l’idée dans cette approche du corps et de la personne, une manière de dire qu’on apprécie ou non, mais qui tente, et qui souvent, réussit à se situer au plus près des états du corps, du ressenti.
— N. Gabriel, Lyon-Figaro, 30 novembre 04 —